L’idée de construire un spectacle autour de la voix de mon amie Simone (ancienne et première voix de FIP devenue la voix de la SNCF) était assez ancienne.
Qu’elle accepte de prêter sa voix a été le déclencheur de toute cette aventure.
Grâce au théâtre de la Renaissance dirigé alors par Roland Auzet, au soutien de la Muse en Circuit, et à l’aide de la SACD, j’ai pu aller au bout de mon projet.
Ma rencontre avec Hélène Colombotti, percussionniste a été, elle aussi, déterminante parce qu’elle était capable à la fois d’incarner le personnage de cette adolescente en fugue et de jouer de tous les instruments et objets sonores.
L’apport de Philippe Marioge, scénographe, a été, lui aussi, essentiel.
Cela a donc donné cette « d’ou l’heure de la fugue » spectacle qui oscille entre le théâtre musical, le hörspiel et l’imaginaire un peu féérique de l’enfance.